L'ARBRE À ARGUMENTS

Ruiner des réputations, réduire au silence, assassiner, dominer, diviser, faire pression, interdire, tromper, piller, etc. Tout cela relève de la coercition. Or, c'est l'état actuel de notre ploutocratie. Il s'agit "d'enfoncer" les peuples, de les noyer pour pouvoir les "gérer"'... Eh bien on peut comparer avec un bout de bois qu'on plonge dans l'eau de l'évier. Vous poussez la planchette vers le bas, mais dès que vous lâchez, elle remonte. Et bien sûr, vous fatiguez avant la planchette ! On peut comparer avec un gouvernement qui veut brider une personne ou une une communauté. Cela ne peut pas marcher, même sur la durée. Il n'y a pas d'autre solution que de laisser s'exprimer. Là est mon point de départ.

Ensuite, je vous invite à vous rendre compte, que dans tous les groupes humains, qu'ils soient professionnels, religieux, politiques, sportifs, etc., partout, il y a des gens géniaux dont on aurait intérêt à comprendre et à intégrer les apports.

Le problème, c'est qu'une grande partie de ces gens géniaux, en déteste ou en conteste d'autres. Chacun a ses partisans aguerris. C'est ainsi qu’il se crée des blocs qui s'affrontent ! Quel gâchis !!!

Imaginez maintenant qu'un groupe d'informaticiens, par exemple, monte un logiciel qui fonctionne en arborescence, et soit capable d'intégrer dans une logique fonctionnelle, la créativité des meilleurs d'entre-nous, de quelque bord qu'ils soient !!! Hein, on avancerait vite, là. Certains s'y essaient, en proposant l'arbre à arguments.

Sauf qu'aussitôt, se crée une résistance, en provenance des causeurs de désordre et de leurs soutiens aussi irresponsables les uns que les autres, qui n'acceptent pas qu'on les mette devant leur incompétence et autres privilèges. Et puis, il y a ceux qui n'écoutent pas, ceux qui ne veulent rien voir ou savoir, et qui restent limités par des idées pourtant dépassées depuis des dizaines d'années. Tout le monde a le droit de s'exprimer, y inclus pour ne rien dire, tromper ou se tromper et enfin pour responsabiliser et se sentir joyeux des progrès obtenus. C'est normal ! Et puis il vaut mieux la discussion que l'anathème, car ce dernier est improductif. Il dégoûte les meilleurs, mais n'empêche pas l'expression, puisqu'elle revient toujours sous une autre forme, souvent de moins bonne qualité. Si une population veut s'exprimer, elle le doit. Alors autant organiser cette expression pour la rendre productive.