LA FIN DES POLITICIENS

      Chiens piégeurs et leurs maîtres.

      Malgré l'espionnage généralisé, Facebook m'est très utile, car c'est en échangeant avec des gens diversifiés, que je "découvre" des idées novatrices qui fonctionnent. Elles me viennent d'un coup. Je n'y pensais pas avant et soudain, elles sont évidentes. C'est dans ces moments-là que je me rends  compte qu'on avance. On n'aborde pas les sujets de la même manière qu'il y a un an, un mois, un jour ! Mieux : quelque chose qu'on était incapable de penser une minute voire une seconde avant, se fait évidente ! Bien des conversations sont nouvelles, et d'autres obsolètes. Le changement est d'actualité, puisque si cela m'arrive, c'est pareil pour les autres, et c'est de plus en plus fréquent !

      Or en face, on voit bien que nos "maîtres politiciens" font du sur-place, qu'ils cherchent à gagner du temps pour conserver leurs exorbitants privilèges. Ils sont arc boutés, tétanisés. Ils stressent, hésitent, et font de très grosses bourdes qui les ridiculisent. Ils sont désormais lisibles, prévisibles. Leurs stratégies sont démontées, mises à nu, et ce qu'on découvre, est d'une laideur repoussante. Cela sent le caniveau. Et c'est normal ! Ces gens sont découplés des populations qu'ils prétendent exploiter. Autrefois, ils vivaient avec leurs salariés, avec leurs fermiers, commerçants et artisans. Ils étaient plus ou moins complices. Ce n'est plus le cas. Ils vivent ailleurs, ils ont perdu le contact avec les réalités. Ils en sont même à les nier, à vouloir ruiner les nations, les peuples et même les terroirs. Ils sont largués.

      Évidemment, avec le temps, on se rend compte que c'est fait exprès, de mettre les pires couillons aux avants postes pour discréditer une classe politique qui coûte si cher, alors que ce n'est pas elle qui gouverne. Ce sont leurs financiers, qui par ce moyen se débarrassent discrètement de leur fonction ! Tant qu'ils en ont eu besoin, ils les ont instrumentalisés par de très longues études. Ils les ont flattés, distraits, corrompus, infantilisés, enrégimentés dans des idéologies aussi stupides que compliquées. Le but était d'en faire des pantins ignorants et sans projet pour les mener aisément ; mais maintenant, à la veille de la dictature totale, il faut qu'ils disparaissent.... Dans un premier temps, tout peut être dirigé depuis Bruxelles, vous comprenez ? Et du coup, l'abandon des personnels politiques des 28 pays de l'Union Européenne est programmé. Ils sont une gêne pour les riches.

      Car cela fonctionne toujours ainsi : on envoie les chiens de chasse devant, ils ramènent le gibier, mais ce ne sont pas eux qui le mangent. Ce sont les chasseurs qui se l'approprient ; et quand la chasse est finie, un ordre est lancé aux chiens de chasse :

      - à la niche" !

      Et là, c'est nettement moins amusant pour eux !!! Pareil pour les journalistes et autres toutous du système ! Vous ne pensez tout de même pas qu'ils vont les payer, quand ils n'en auront plus besoin ! Donc, les idiots utiles seront les prochains sacrifiés. Qu'on se le dise.

      C'est ainsi que ceux qui ont tout détruit : royauté, religions, paysans, artisans et commerçants, bourgeoisie, industrie et j'en passe, vont disparaître aussi dans le tourbillon de leur propre folie, assujettie au fascisme capitaliste ! Ils ont été volontaires pour planifier l’appauvrissement généralisé, pour organiser des guerres, des famines, pour pervertir l'éducation, l'enseignement, la science, pour polluer l'eau, l'air, la terre, la nourriture, pour avilir la médecine. Ils ont voulu se moquer des autres pour se croire supérieurs. Ils ont menti, volé, tué pour mettre en esclavage. Maintenant, le temps vient de leur propre oppression, car ils seront broyés, n'en doutez pas. Et le pire, c'est que cette tâche leur est déjà confiée. Qui mieux qu'eux viendrait à bout de leur infamie ? Leur destin est tout tracé : être des traîtres jusqu'au bout, y inclus à eux-mêmes.

      Oui, on voit bien là, la marche cruelle et inexorablement destructrice du capitalisme. Tout le monde, sauf peut-être cinquante mille personnes, gagnerait à ce que cela s'arrête ; mais Francis Cousin nous dit que le système ira jusqu'au bout, qu'il ne pourra en être autrement, que tout sera détruit.