LES MERCENAIRES INVISIBLES

         La masse est conne, me dit-on. Eh bien ceci mérite réflexion !    

          Or hier, d'un coup, me venait à l'idée que Staline, le grand assassin en chef des Russes de son époque, n'avait tué personne ! On le gratifiait pourtant de 40 millions de morts... Et Mao, combien de Chinois avait-il tué de sa main ? Polpot, peut-être ? Et notre cher Napoléon ? Questions troublantes. Mais, si les tueurs de masse ne sont pas ceux qu'on accuse, qui sont-ils alors ?

          Ils sont légion. Ce sont les mercenaires. Sans eux, nous aurions la paix. Nous en sommes loin... Alors qui sont-ils ?

          Facile, il suffit de se poser les bonnes questions : qui accepte de créer, fabriquer et vendre des médicaments dangereux ? Qui accepte de polluer l'eau, la nourriture ou le dentifrice ? Qui accepte de tuer pour rendre service à quelques arrogants puissants ? Qui accepte de piloter des avions de chasse ou de chemtrails ? Qui accepte de poser des radars pour piller au bord des routes ? Qui accepte de programmer l’obsolescence de ses produits ? Qui accepte de voter des lois pour voler ses électeurs ? Qui accepte d’inventer, fabriquer et vendre des armes ? Qui accepte de prélever des impôts injustes ? Qui, accepte d'appliquer des lois liberticides ? Qui accepte de tromper le quidam ordinaire ? Qui accepte de cultiver des OGM ? Qui accepte de désinformer ? Qui accepte de vendre du crédit ? Qui accepte de polluer ? Qui accepte de vacciner ? Qui accepte d'espionner ? Qui accepte... ? Etc. Ils sont si nombreux et si diversifiés, qu'il est difficile de choisir une image pour les représenter. On en trouve partout ! Où que vous posiez votre regard, vous en voyez. On pense généralement aux soldats, aux gendarmes, aux CRS, à la police, aux services secrets, aux politiciens. Oui, mais ils ne sont que la partie visible de l'iceberg. Je me rends compte que toutes les strates de la société sont corrompues par cette perversion. Et là, ressortent les 12000 suicides annuels, rien qu'en France, les statistiques de consommation des anxiolytiques sont effarantes, le malaise évident.

          On accuse l'humanité de toutes ces perversions. Or, j'aime cette humanité. J'estime qu'elle vaut bien mieux que les délinquants institutionnels qui l'exploitent, sous prétexte que c'est pour son bien ; et du coup, je ne suis pas d'accord. Ce sont ceux qui formatent la société, qui créent les difficultés, soit les créateurs de monnaies truquées, les promoteurs de religions trompeuses, les illuminés de philosophies contradictoires, les bénéficiaires de partis voyous, etc. Ce sont eux qui obligent des gens à se prostituer en tant que percepteurs d'impôts injustes, inventeurs d'armes létales, services de coercition, assassins, arnaqueurs, racketteurs, truqueurs, menteurs, espions, etc.

Notre organisation sociale et nos mots sont comme le squelette d'un bossu, ils déforment notre art de vivre, le salissent, l'affaiblissent, le pervertissent ; ils l'empêchent de vivre sa beauté et sa générosité.

          Alors, comment s'y prendre, pour que chacune et chacun, puisse vivre selon ses choix intimes, pas selon ceux déformés de la société actuelle ? Le voilà, le vrai projet !

Un bon départ serait déjà de considérer qu'il n'y aura pas de paix sur notre Terre, tant qu'on n'aura pas fait la paix avec la Terre. Or, toutes les religions, sauf les chamanismes, sont anthropocentriques, c'est à dire basées sur l'idée que l'homme est au centre du monde, le maître de tout ; ce qui conduit aux destructions qu'on connaît ! Or, il y a une autre façon de voir, expliquée ici par Paul Watson, pirate des mers pour la bonne cause. C'est le biocentrisme (Onzième minute mais tout est intéressant). Il nous faut revenir à une conception chamanique du monde, selon laquelle nous sommes la Nature et la paix. Nous en faisons partie, nous devons collaborer avec elle, pas la dominer, pas la maîtriser.

      Pour aller plus loin,

      Lire un livre d'Anton Parks est une bonne idée. Exemple : le livre de Nuréa. Il y développe d'abord la genèse de notre humanité. Il en surgit l'idée qu'elle a toujours été prise en tenaille entre les esclavagistes qui l'exploitent comme un troupeau de moutons, et ceux qui veulent détruire ces esclavagistes et leurs larbins, nous mêmes. Si vous souhaitez apprendre vite, allez ici : Ce livre est subversif ; vous y trouverez l'essentiel des deux premières pages de la seconde partie, ainsi que les quelques lignes en italique qui vous expliqueront sans détours, la cause et la structure de notre soumission ! Vous ne penserez plus jamais l'humanité comme avant. Elle vous redeviendra sympathique...